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« Crowded Road » : fait immanquablement penser à la partie vocale d' « Almost Lost » de Static Tensions ici dans une version accélérée. Traversé par un solo orientalisant façon Nile épuré : les plaines d'Egypte ne semblent pas loin.
« Distance Closing In » : Une intro comme une ouverture subreptice au « Dust » final. Il ne serait pas étonnant que les deux aient été conçus dans la foulée. Ladite intro donne à voir une vague ressemblance avec le « Welcome Mat At an Abandonned Life » de To Walk A Middle Course.
Je vous fais grâce des faux airs et hommages rendus aux groupes déjà cités dans la chro (ou l'accroc ?).
Avant de replonger dans le bain, une remise de prix s'impose :
La palme :
« Drop Out » : ça sent le classique à moulinettes plein les nasaux. Espérons que le Live transformera l'essai comme il se doit.
Le croupion :
« To Forget » : Sûrement le plus horripilant de l'album. La voix radiomerdicophonique (et mièvre en plus de cela) casse en premier lieu l'élan « Baronesque » de la lead guitar avant que la situation ne se rétablisse sensiblement. Enfin tout de même, c'est un peu comme si on voulait nous faire revivre le virage Boys-band de Mastodon avec l'entrée en lice du batteur côté chant... (hein, rappelez-vous vos poils se hérissant de frayeur à l'écoute d' « Oblivion »...)
Allez, je la fais quand même : A oublier (ahuhaha)
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