
A la surface, la tête dans les éclairs de nuages qui suintent l'eau cotonneuse. A se laisser dériver les pores pour éponger l'eau et devenir peau d'orange. Pruneau et abricot abrités dans un havre spécieux qui sert d'entrepôt aux bandes sonores les plus souillées d'abjectes particules microscopiques. L'attente immédiate d'un sursaut accable le porteur de lumière encapuchonné par un mantra tout dédié aux rites quantiques. Puis perturbe le vent que la chevauchée à dos de valkyrie qui écrase les tempérances avant de ressentir la torpeur moite du jour qui se lève et pétrifie les muscles qui font montre de parjure en se rompant au gré du temps. Evasif et vaseux dans un brouillard coupé au couteau d'un glacial contondant à la serpe, la purée de poids mouches bourdonne à l'orée de l'ultimatum. Égérie inquiétante quand elle n'est pas distante, la muse éponyme d'Ash Ra Tempel est la BO d'un 2001 l'odyssée de l'Espace tourné vers l'eschatologie pour retourner à l'essentiel d'un microcosme du plus petit nanomètre.
ART n'est rien de rationnel, car toute Choucroute (kraut) Rock est une vaste fumerie qui saisit l'aubaine de prendre sa musique au sérieux pour prendre au dépourvu par ce brûlot sous couvert d'un attentisme terroriste brûlant de fumisterie d'une ferveur stupéfiante.
Azote liquide et scalpel pour disséquer la masse critique...
… de la Planète des Singes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire