
Mais à double tranchant, certains éléments sonnent résolument dépassés... Car il faut avouer que les quelques arrangements Ambient composés de nappes de synthés font un peu kitsch ; il suffit pour cela d'écouter l'intro. Cependant, les subreptices notes de piano et les passages à la guitare claire s'équilibrent parfaitement avec les discrets riffs pachydermiques. De sorte que la tension mélancolique et cérémonieuse est palpable tout au long des fantastiques dix morceaux de l'album. Si ASTNS donne curieusement l'impression d'être le plus funèbre, il est irréfutable qu'il résonne comme le plus majestueux.
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