
Lucertulas tue, mais encore fallait-il que je m'en rende compte. Un concert de plus à mettre à la liste des regrets, un autre parquet d'enfer à lustrer et briquer d'un air lubrique. Les gars pratiquent sans doute possible un Black de Mathcoreux pour s'enhardir d'accoucher du label « Noise ». The Brawl est inquiétant, mais distribue aussi des mandales. Comme Jésus qui fout des pains dans les poires des assaillants maures de faim, Lucertulas serpente et fait ondoyer sa danse du ventre ventripotente. Pour papoter ou peloter, il y a de quoi se palucher avec ce fatras d'attirails contondants aux accents Shoegaze tout dreamy blindés de Far West de l'espace. Qué? Épiloguer ? Pas besoin. Tout est dit en moins d'une demie-heure. Le Reign In Blood du petit Punk. C'est sûr, une fois n'est pas coutume, j'apprendrai à réfléchir mes activités et ma gestion du temps une prochaine fois.
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