
Pouah pouah pouah. J'étais passé à côté de ça... Toutefois pas sans y avoir jeté une oreille... Aux oubliettes, pas attentive, préoccupée par d'autres considérations bassement mercantiles, sûrement... Alors que tout est là, était là, sous mes yeux. A force d'en prendre plein les mirettes on n'en apprécie plus rien que les pâquerettes. Un sac à vomi, une paire de couches, et c'est parti ! En plus de ça, ça se paie le luxe d'être mélodique et malicieux. Ca balance du Gros Jira (ou du Morbid Angel pour les puristes... pardon), ça se la joue classe et bourru comme Coalesce, c'est perclus de phrases immondes comme Unsane et de temps en temps ça racole avec les vieux Converge de papa. Au Far (far) West (for a lonesome cowboy), on traîne sa dégaine sans tirer un seul coup comme de bons garçons vachers Egyptiens montés sur ressort à double hélice. De l'ADN de champion dans des veines irriguées d'un sang aride et coagulé pour la plèbe en liesse pourtant on ne peut plus lasse. Sur les murs de Fort Alamo, j'écrirai ton nom en lettres pourpres, ô toi SATAN. Oh marre ! M'a encore tuer une fois...
En un mot comme en mille qui tombent en plein pas dedans les esgourdes d'Emile, c'est du Grind de haut vol!
FN : Relapse c'était quand même cool à l'époque...
Vieux Con.
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