
Biffetons à l'eau de rose. Pognon, romantisme et grande escroquerie forment le lot de cette bande de jeunes parvenus dans le vent, et plus particulièrement du beau brun en vedette, prétendant à Harvard et instigateur d'un luxe pharaonique à la portée de son calcul mental. Du bling-bling et des paillettes pour le spectateur abîmé par une luxure à outrance. Si 21 se la joue aussi cool qu'un épisode de la saga Ocean's ..., il n'en a ni le casting ni la mesure du bon goût. Dramatique quand il n'est pas écœurant de putasserie, le film alterne entre un « m'as-tu vu » des plus racoleurs et les états d'âme d'un jeune surdoué ; condamné à être supérieur aux autres malgré lui... Du pareil au même donc, puisque le film transpire, à l'instar de son héros, l'autosuffisance.
L'énième séquence nostalgique du détroussé
L'empire contre-attaque : Impossible d'être objectif quand on revoit un film de la trilogie qui a bercé son enfance... Connu pour être le plus sombre, mais aussi le plus réussi, le deuxième épisode de la trilogie originale est encore à l'heure actuelle parfaitement érotique ; même avec un regard supposément « adulte ».
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