- Little Big Man : un classique parmi les classiques comme je ne l’aurais jamais soupçonné. Ce film appelle la « relecture » à l’envi.
- Dans ma peau : Aussi troublant qu’A l’Intérieur. Evidemment, comme c’est français, j’ai toujours cette désagréable impression que c’est joué avec les pieds mais c’est suffisamment dérangeant pour que j’en sorte à la fois interloqué et béat.
- Eldorado : Une BO exceptionnelle. Premier point. Pour le coup, cette première qualité m’a rappelé l’effort particulier qu’avait mis Alexandre Aja dans son Haute Tension.
- Un chien Andalou : Film historique ou préhistorique ? Court-métrage qui donne à voir l’excitation qui régnait à l’époque devant une caméra avec laquelle tous les champs d’exploration étaient encore ouverts. Surprenant d’audace et d’irrévérence pour l’époque ! ( ?)
- Death Sentence : Et pour finir, le nanar du lot ! Le navet parmi les choux plantés à la mode de chez nous… Une histoire de vengeance prosaïque qui fait s’enfiler les scènes calamiteusement stéréotypées comme des perles en plastique bon marché. Ridicule ? Pas loin. Du père exemplaire aux méchants pas beaux, un bon océan de connerie noie le spectateur dans sa bourrasque inamovible. A oublier. Point.
Le petit dernier du fond : Inside Man entamé puis avorté après découverte d’une avarie technique. Cependant le petit rejeton était sacrément engageant… J’y reviendrai à coup sûr !

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