mardi 19 mai 2009

Une université à chier

A chier l'université, cette matière longue et molle ne finira jamais de se débattre. Pauvre étron ! Mince alors, que donner de ma volonté si elle est hachée menu par deux-trois détritus qui jonchent mon chemin ? J'm'explique : choisir le parti-pris d'assister à toutes les AG est en soi une bonne chose, mais quand derrière soi la fourche du Père Goriot vous pointe à plusieurs dents et que devant soi le baton et la carotte de l'âne nanti vous font progresser, que reste-t-il ? (de nos amours)

Soit, des terrains désolés, des trous béants, que l'amitié et l'amour auront bien du mal à combler, si tant est qu'on arrive encore aujourd'hui et demain à les considérer comme des valeurs autres qu'artificielles.
Ouf... Tout ça pour dire que la récréation de se voir confondu dans une foule sous un soleil de plomb à la disposition de grévistes et syndiqués ne m'emballent pas (plus).
Oui, Plus... Du-Tout. Plus envie : et c'est quand je vois l'amitié qui lit un étron large et un étron sympathique à moi-même que mes sentiments se troublent. Mince alors ? Suis-je si difficile ? On m'a déjà dit que j'ai un mauvais caractère, mais est-ce la seule réponse ? J'sais pas... pas envie d'entrer dans ce jeu en tout cas... Plus maintenant, allez, j'me réfugie (peut-être un jour) dans la valeur travail parce qu'après tout "j'ai mon contrôle continu" à boucler.

Ah... Belle espèrance...

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